Auxiliaire de puériculture | Métier, salaire et formation

Article mis à jour le : 19 mars 2024

L’auxiliaire de puériculture est un métier recherché, en partie parce que le nombre de structures d’accueil pour les jeunes enfants augmente chaque année. L’auxiliaire de puériculture peut aussi exercer dans les hôpitaux, les PMI, les services pédiatriques…

  • Comment y accéder ? 
  • Quelle formation suivre ?
  • Quels sont les débouchés possibles et les perspectives d’évolution ?

Vous souhaitez travailler auprès de jeunes enfants, découvrez tout ce qu’il faut savoir sur le métier passionnant d’auxiliaire de puériculture.

Exemple missions et métier d'Auxiliaire de puériculture

Le métier d’auxiliaire de puériculture en France

Profession très majoritairement féminine, l’auxiliaire de puériculture s’occupe de nourrissons et de jeunes enfants en bonne santé ou bien malades.

Qu’est-ce qu’une auxiliaire de puériculture ?

L’auxiliaire de puériculture est une professionnelle de la santé. Elle travaille en collaboration et sous la responsabilité d’une puéricultrice ou d’une infirmière selon les conditions définies à l’article R. 4311-4 du code de la santé publique.

  • Elle prend soin de l’enfant dans ses activités de la vie quotidienne.
  • Elle assure la toilette et l’hygiène pour préserver son bien-être.
  • Elle participe aux soins infirmiers pour garantir sa santé. 
  • Elle aide à l’intégration sociale des enfants en situation de handicap, de maladies chroniques ou d’exclusion sociale. Elle réalise des activités d’éveil pour assurer la continuité de l’éducation.
  • Elle collabore avec les autres professionnels (aides-soignantes, puéricultrices, infirmières, aides médico-psychologiques…) et en concertation avec les parents.

Quelles sont les missions d'une auxiliaire de puériculture ?

Le rôle de l’auxiliaire de puériculture s’inscrit dans une approche globale de l’enfant en lien avec sa famille, pour l’aider à « bien » grandir.

Aide aux soins

  • Prend soin de l’enfant dans ses activités quotidiennes (repas, change, toilette…)
  • Observe l’enfant et apprécie son état de santé
  • Participe aux soins avec l’infirmière ou la puéricultrice

Propreté de l’environnement de travail

  • Assure l’entretien de l’environnement immédiat de l’enfant
  • Nettoie et désinfecte le matériel de soins et les jouets
  • Respecte les règles d’hygiène et de sécurité spécifiques aux établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux

Accompagnement social et éducatif

  • Accueille, informe et accompagne l’enfant et sa famille
  • Réalise des activités d’éveil, de loisirs et d’animation
  • Participe à l’intégration sociale des enfants en situation de handicap, de maladies chroniques et d’exclusion sociale

Communication

  • Recueille et transmet ses observations par oral ou par écrit à ses collègues
  • Établit une communication adaptée avec les parents

Les qualités requises pour être auxiliaire de puériculture

Aimer travailler avec les jeunes enfants est une qualité évidente pour exercer le métier d’auxiliaire de puériculture, mais ce n’est pas la seule. Si l’auxiliaire puéricultrice veut s’épanouir dans son activité tout en faisant un travail de qualité, elle doit avoir d’autres compétences telles que :

  • Sens du contact et bon relationnel
  • Capacité à adapter son attitude et son discours à l’âge et à l’état de santé de l’enfant
  • Patience et tolérance
  • Douceur et autorité
  • Rigueur et sens des responsabilités
  • Savoir communiquer
  • Créativité et esprit d’initiative
  • Dynamisme et résistance physique
  • Goût du travail en équipe
Où travaille une auxiliaire de puériculture

Où travaille une auxiliaire de puériculture ?

Elle exerce en général dans des équipes pluriprofessionnelles et dans tous les types des structures - publiques et privées - recevant des jeunes enfants :

  • Crèches et haltes-garderies
  • Domicile de l’enfant
  • Grandes entreprises privées
  • Foyers socio-éducatifs et foyers socio-médicaux accueillant des jeunes enfants
  • Structures associatives
  • PMI (Centre de Protection maternelle et infantile)
  • Maternités
  • Services hospitaliers (néonatalogie…)

Quel est le salaire d'une auxiliaire de puériculture ?

Le salaire mensuel brut d’une auxiliaire de puériculture est en moyenne de 1 300 € en début de carrière et de 2 500 € en fin de carrière. Il peut varier en fonction du lieu d’exercice, de l’ancienneté et des conditions de travail.

Le supplément familial de traitement (SFT), des primes et des indemnités pour la mobilité, pour le travail des dimanches/jours fériés ou pour des astreintes, complètent fréquemment le salaire de base.

Pour les auxiliaires de puériculture évoluant dans la fonction publique, c’est la grille indiciaire hospitalière qui permet de calculer la rémunération brute mensuelle selon le grade (classe normale ou supérieure) et l’échelon (12 et 11, respectivement).

Le quotidien d’une auxiliaire de puériculture

Les conditions de travail sont très différentes d’une auxiliaire de puériculture à l’autre – et par conséquent, leur quotidien aussi.

Quels sont les avantages du métier d'auxiliaire de puériculture ?

Ils sont nombreux, car c’est un métier passionnant et gratifiant, comme le sont beaucoup de professions en lien avec les jeunes enfants. Se sentir utile, regarder l’enfant grandir, le voir évoluer, participer activement à son épanouissement, son bien-être ou sa santé font partie des satisfactions vécues par les auxiliaires de puéricultures.

Quelles sont les difficultés du métier d'auxiliaire de puériculture ?

C’est un métier physiquement exigeant. L’auxiliaire de puériculture travaille souvent en position baissée, de nuit, les jours fériés ou les week-ends. Elle peut être confrontée à une surcharge de travail due à un manque de personnel.

Dans d’autres circonstances, elle doit aussi être forte psychologiquement, lorsqu’il s’agit de supporter la souffrance ou le décès d’un enfant, par exemple.

Le métier vu de l'intérieur

  • Témoignage d’une auxiliaire de puériculture en crèche
  •  Portrait d’une aide puéricultrice en maternité
  • La formation de l’auxiliaire de puériculture

    La formation est ouverte aux personnes de 17 ans au moins, sans aucune condition de diplôme. Elle se prépare en 1 an dans des Instituts de Formation d’Auxiliaires de Puériculture (IFAP).

    Certains lycées proposent cette formation gratuitement à condition d’avoir le statut d’étudiant et de ne pas avoir mis un terme à ses études depuis plus d’un an.

    Quel est le diplôme pour devenir auxiliaire de puériculture ?

    Pour être auxiliaire de puériculture, il faut être titulaire du diplôme d’État d’auxiliaire de puériculture (DEAP). Depuis la réforme de 2020, il s’agit d’un diplôme de niveau IV (baccalauréat).

    Quel est le programme de la formation au métier d’auxiliaire de puériculture ?

    La formation comprend 770 heures de cours théoriques et 4 périodes de stages d’une durée de 5 à 7 semaines. Ces stages peuvent être effectués dans différentes structures du champ sanitaire, social ou médico-social.

    Le programme des cours couvre 5 domaines de compétences regroupant plusieurs modules de formation :

    1. Accompagnement et soins de l’enfant dans les activités de la vie quotidienne et de la vie sociale en repérant les fragilités
    2. Appréciation de l’état clinique et mise en œuvre de soins adaptés en collaboration avec l’infirmier en intégrant la qualité et la prévention des risques
    3. Information et accompagnement des personnes et de leur entourage, des professionnels et des apprenants
    4. Entretien de l’environnement immédiat de la personne et des matériels liés aux activités de soins, au lieu et aux situations d’intervention
    5. Travail en équipe pluri-professionnelle et traitement des informations liées aux activités de soins, à la qualité/gestion des risques

    À noter : Au cours de ces stages, l’élève doit réaliser au moins une expérience de travail de nuit, une de travail le week-end et une auprès d’enfants en situation de handicap physique ou psychique.

    Quelles sont les modalités d’obtention du diplôme d’auxiliaire de puériculture ?

    L'évaluation des compétences acquises est assurée par le centre de formation et par le tuteur de stage tout au long de la formation. En fonction des modules concernés, l'évaluation peut être réalisée en situation simulée.

    L'élève doit obtenir la moyenne à chaque module de formation sans possibilité de compensation entre modules. Le diplôme d’auxiliaire de puériculture s’obtient après la validation de tous les blocs de compétences ainsi que celle des stages en milieu professionnel.

    À noter : Il existe de nombreux cas d’équivalences ou d’allègements partiels - ou complets - de certains modules de formation. C’est le cas pour les titulaires des diplômes suivants :

    • diplôme d’État (DE) d’aide-soignant,
    • diplôme d’assistant de régulation médicale
    • diplôme d’ambulancier
    • baccalauréat pro Accompagnement aux Personnes et aux Territoires (SAPAT)
    • baccalauréat pro Accompagnement, Soins et Services à la Personne (ASSP)
    • DE d'accompagnant éducatif et social (ou DE d'auxiliaire de vie sociale, certificat d'aptitude aux fonctions d'aide à domicile, DE d'aide médico-psychologique, certificat d'aptitude aux fonctions d'aide médico-psychologique)
    • CAP AEPE (Accompagnant éducatif petite enfance)
    • titre professionnel d’assistant de vie aux familles
    • titre professionnel d’agent de service médico-social

    Comment peut-on accéder à la formation d’auxiliaire de puériculture ?

    La formation au DEAP est accessible aux personnes de plus de 17 ans au moins. Aucun diplôme n’est requis.

    La réforme du DE d’auxiliaire de puériculture de 2020 a supprimé les concours d’entrée aux écoles d’auxiliaires de puériculture. Aujourd’hui, l’inscription se fait sur dossier et entretien.

    De façon classique, le DE d’auxiliaire de puériculture se prépare en continu sur 12 mois. En fonction de la situation du candidat, la formation peut se faire en discontinu sur une période maximale de 2 ans (18 mois pour les apprentis).

    Le diplôme peut également être obtenu par la validation des acquis de l’expérience (VAE), à condition de pouvoir justifier de compétences professionnelles acquises dans l’exercice d’une activité bénévole ou salariée en lien avec le métier.

    Comment financer une formation pour devenir auxiliaire de puériculture ?

    La formation en IFAP, qu’ils soient publics ou privés, est payante et assez onéreuse. Les frais de scolarité varient d’un établissement à l’autre. Ils sont en moyenne de 5 000 € et peuvent atteindre plus de 7 000 € en Île-de-France. À ces frais, il faut souvent rajouter des frais annexes (repas, transport, achats d’ouvrages et de tenues professionnelles pour les stages pratiques…).

    Le financement de la formation d’auxiliaire de puériculture peut être pris en charge sous certaines conditions. Il est partiel ou total et dépend de la situation professionnelle et financière du demandeur.

    Parmi les aides financières disponibles, on trouve :

    • Les Bourses de l’Éducation nationale sous condition de revenus
    • Le Pôle Emploi : l’aide individuelle à la formation (AIF) pour les demandeurs d’emploi inscrits et les personnes en accompagnement de reclassement
    • Les prêts bancaires étudiants : les bénéficiaires jouissent d’un taux d’intérêt préférentiel et le remboursement commence après la fin des études
    • Les droits individuels de formation (DIF)
    • Le Conseil régional
    • Le contrat d'apprentissage pour les jeunes de moins de 26 ans en collaboration avec un Centre de formation par alternance (CFA)
    • Le Compte Personnel de Formation (CPF) pour les salariés
    Les évolutions de carrière de l’auxiliaire de puériculture

    Les évolutions de carrière de l’auxiliaire de puériculture 

    Si elle le souhaite, l’auxiliaire de puériculture a la possibilité de changer de fonction et de travailler auprès de patients adultes en passant le diplôme d’aide-soignante.

    Des passerelles sont également possibles vers le métier d’aide médico-psychologique et éventuellement d’éducateur de jeunes enfants.

    Après 3 années minimum d’expérience professionnelle dans le secteur médical ou médico-social, l’auxiliaire puéricultrice peut également se présenter aux épreuves de sélection pour l’entrée dans un IFSI (Institut de formation en soins infirmiers).

    Se former quand on est auxiliaire de puéricultrice

    Dans le cadre du DPC (Développement Professionnel Continu), l'auxiliaire de puériculture se forme tout au long de sa carrière. Des formations courtes sont spécialement conçues pour approfondir ses missions et développer ses coméptences.

    Quelles formations suivre quand on est auxiliaire de puériculture ?

    Pour améliorer ses pratiques ou pour évoluer dans sa carrière, l’auxiliaire de puériculture peut continuer à se former.

    La formation continue de l’auxiliaire de puériculture

    L’auxiliaire de puériculture (AP) exerce un métier aux multiples facettes. Ses missions touchent les domaines de l’hygiène, du soin, de l’éveil et l’éducation. Elle doit répondre aux besoins des enfants, qu’ils soient bien portants, malades ou en situation de handicap. Enfin, l’AP collabore la plupart du temps, avec d’autres professionnels de la santé ou de la petite enfance et en concertation avec les parents.

    Il existe de nombreuses formations complémentaires pour les auxiliaires de puériculture. Elles peuvent être simplement qualifiantes ou bien certifiantes et permettant de couvrir tous les aspects de la profession :

    • Développement psychomoteur de l’enfant ;
    • Jeux, activités, éveil ;
    • Sensibilisation aux nouvelles pédagogies (Montessori, Snoezelen…) ;
    • Communication et développement du langage ;
    • Alimentation du jeune enfant, diversification alimentaire, allergies et troubles alimentaires ;
    • Parentalité et transmission aux parents ;
    • Accueil d’un enfant autiste ou en situation de handicap…

    Avec la formation continue, l’AP peut également disposer de nouvelles perspectives d’évolution professionnelle et accéder à plusieurs possibilités de choix de carrière telles que :

    Le développement professionnel continu de l’auxiliaire de puériculture

    Le développement professionnel continu (DPC) constitue une obligation de formation pour les auxiliaires de puériculture qui doivent se soumettre sur une période de 3 ans à des actions de formation continue, d’analyse, évaluation et amélioration de ses pratiques et de gestion des risques.

    Les orientations pluriannuelles prioritaires de DPC pour les auxiliaires de puériculture

    Pour être éligible au DPC, une action de DPC doit répondre à, au moins, une des orientations prioritaires triennales fixées par l’État en concertation avec les organisations professionnelles et l’Assurance Maladie.

    Pour la période 2023-2025, 3 orientations de DPC (n°17, 20 et 21) dont certaines parties concernent les auxiliaires de puériculture ont été fixées par arrêté. Chacune d’elle s’accompagne d’une fiche de cadrage qui précise le contexte, les objectifs ainsi que les éléments de programme devant être abordés.

    • 17 - Repérage et prise en charge des troubles nutritionnels
    • 20 - Appréhension des enjeux liés à la santé environnementale
    • 21 - Repérage, diagnostic et grands principes d'accompagnement du Trouble du Syndrome de l’Autisme (TSA) et des Troubles du Neuro Développement (TND) chez l’adulte et chez l’enfant

    Par ailleurs, les orientations 1 à 15 concernent toutes les professions médicales.

    Orientation prioritaire n°17 - Repérage et prise en charge des troubles nutritionnels

    En France, 17 % des adultes âgés de 18 à 74 ans sont touchés par l'obésité et 3.2 % par la maigreur. Qu'il s'agisse de dénutrition ou de surpoids chez les enfants, les auxiliaires de puériculture jouent un rôle dans la prise en charge de ces pathologies.

    Fiche de cadrage (4 pages : n°71 à 75) 

    Objectif de la formation :

    • S'approprier les outils de prise en charge des troubles nutritionnels : obésité, surpoids, troubles du comportement alimentaire.

    Éléments de programme :

    • Prise en charge initiale
    • Mise en place de thérapeutique
    • Accompagnement du patient

    Orientation prioritaire n°20 - Appréhension des enjeux liés à la santé environnementale

    Dans le monde, 23 % des décès et 25 % des maladies chroniques sont imputables à des facteurs liés à l'environnement. Pour répondre aux besoins des populations, il est nécessaire que les auxiliaires de puériculture mettent à jour leurs connaissances sur les principales pathologies cocnernées.

    Fiche de cadrage (3 pages : n°83 à 85)

    Objectifs de la formation :

    • Acquérir des éléments de prévention et de diagnostic.
    • Prendre en charge les pathologies notamment celles liées aux populations les plus fragiles et les plus exposées.

    Éléments de programme :

    • Données épidémiologiques.
    • Interrogation pour repérer les pathologies environnementales 
    • Identification des populations à risques

    Orientation prioritaire n°21 - Repérage, diagnostic et grands principes d'accompagnement du Trouble du Syndrome de l’Autisme (TSA) et des Troubles du Neuro Développement (TND) chez l’adulte et chez l’enfant

    Le dépistage des enfants atteints de TSA et de TND est essentiel pour mettre en oeuvre des stratégie de prises en charge.Fiche de cadrage (4 pages : 86 à 90) 

    Objectifs de la formation :

    • Améliorer le repérage et le diagnostic.
    • Accompagner les enfants atteitns de TSA ou de TND

    Éléments de programme :

    • Les signes cliniques des enfants avec TND
    • La démarche diagnostique
    • Le parcours de prise en charge
    • L'accompagnement

    Les actions de DPC pour les auxiliaires de puériculture

    L’agence nationale du développement professionnel continu (ANDPC) met à la disposition des auxiliaires de puériculture, la liste officielle des programmes et des actions de DPC qui peuvent les concerner.

    Dispensées par des associations, des organismes privés de formation professionnelle continue, des universités ou encore des établissements de santé publics, ces actions de DPC existent sous différents formats :

    • formation en présentiel (stages intensifs généralement suivis à temps plein ou cours ponctuels de 1 à 2 h/semaine sur plusieurs mois, voire une année) ;
    •  formation en classes virtuelles ou en e-learning.

    Le financement d’une formation de DPC d'auxiliaire de puériculture

    En 2022, le prix moyen d’une action de DPC pour auxiliaire de puériculture est d’environ 1 000 €.

    À ces frais pédagogiques, peuvent s’ajouter des frais de déplacement, de restauration et de logement, mais également le manque de revenus durant la formation.

    Bien que soumis à l’obligation de DPC comme les autres professionnels de santé, les auxiliaires de puériculture ne peuvent, à ce jour, pas prétendre à l’aide au financement accordée par l’Agence nationale du DPC sous la forme de forfait de DPC.

    L’auxiliaire de puériculture doit faire appel à d’autres moyens pour financer sa formation continue comme, par exemple, le compte personnel de formation (CPF) pour les salariés ou le fonds interprofessionnel de formation des professionnels libéraux (FIFPL).

    Les organisations et groupes d'entraide pour auxiliaire de puériculture

    ANAP – Association Nationale des Auxiliaires de Puériculture

    Depuis sa création en 1967, l’ANAP défend les droits et les spécificités des auxiliaires de puériculture auprès des pouvoirs publics.

    Ceepame - Comité d’Entente des Écoles Préparant aux Métiers de l’Enfance

    Association loi 1901 à but non lucratif qui fédère toutes les écoles préparant aux DE de puéricultrices et d’auxiliaires de puériculture. Ses objectifs : inscrire les écoles dans une démarche qualité, favoriser les échanges et coordonner leurs actions.

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